Onderwerp (wordt vervangen door Abstract na indienen) | L’Organisation maritime internationale (OMI) a dicté des objectifs de diminution des émissions de gaz à effets de serre de 30% d’ici à 2030, de 80% d’ici à 2040 et de 100% d’ici à 2050 dont elle compte exposer les contrevenants à des sanctions économiques, il en va aussi que toutes les industries confondues en Union Européenne seront progressivement impactées par la diminution des quotas d’émission carbone entre 2026 et 2034 les obligeant à moderniser leurs installations et procédés aujourd’hui trop émetteurs en carbone. Il existe naturellement une résilience plus ou moins forte selon les secteurs d’industrie ou utilisateurs des ports, non pas qu’il s’agisse de mauvaise volonté des différents acteurs puisqu’aucun ne veut faire les frais de pénalités économique et souffrir d’une mauvaise image dans l’opinion publique, cette résilience est due à une identification insuffisante de leurs besoins en infrastructures portuaires et aussi dans certains cas à une résistance réglementaire et administrative qu’il faudrait mettre en lumière lorsqu’elle existe. Cette problématique est au départ d’un travail de recherche mené par SOFRESID ENGINEERING, société d’ingénierie en Oil & Gas, chimie et énergie, filiale d’EKIUM (groupe SNEF), travail auquel son département Recherche et innovation m’a proposé de participer. Il sera question 1. d’identifier les différents types de ports selon des critères déjà définis : le type de logistique, le plan existant de développement, le statut administratif des ports, le taux de centralisation des activités liées au port , et 2. de dresser la liste des infrastructure à mettre en place pour accompagner la transition : moyens de stockage de fuels alternatifs, moyens de transferts entre les navires et le port, moyens d’import et d’export à l’intérieur du territoire et moyens de capture d’émission de carbone. Pour ce faire il sera nécessaire pour moi d’utiliser des études de cas, des analogies avec des solution d’infrastructure déjà existantes tels que pour le déploiement du GNL et de l’hydrogène. Le département Recherche et innovation de SOFRESID ENGINEERING s’est engagé à contrôler une fois par moi l’avancement de mes recherches pour en corriger l’orientation s’il en était besoin. Le résultat de ces travaux de recherche pour SOFRESID ENGINEERING serait de pouvoir proposer des services de conseil et d’accompagnement des sociétés dans leurs objectifs de décarbonation, services dont la pertinence et la qualité dépendent de l’avancement de ce travail de recherche.
|
Details samenwerking | Cette problématique est au départ d’un travail de recherche mené par SOFRESID ENGINEERING, société d’ingénierie en Oil & Gas, chimie et énergie, filiale d’EKIUM (groupe SNEF), travail auquel son département Recherche et innovation m’a proposé de participer.
|