Dans un monde régi avant tout par les pressions économique, la prévention et la sécurité ne sont pas toujours mis en priorité à bord. C’est ainsi que des incidents se produisent tous les jours. Dans les cas les plus extrêmes, une opération SAR est nécessaire qu’il s’agisse d’un incendie, d’une personne tombée à l’eau, d’un échouage ou autre. Dès lors, la plus grosse problématique lorsqu’il faut rechercher une personne ou un objet est de savoir où chercher. Pour cela, il faut donc déterminer la dérive et par conséquent le point de référence.
Ce mémoire traitera d’abord des procédures standard des opérations SAR, de ce qu’est la dérive et de comment on la détermine “classiquement” à bord. Ensuite, seront présenté les méthodes alternative permettant peut-être à l’aide de programmes informatique d’améliorer la vitesse d’action ainsi que la précision. Cela avec un accent particulier sur les programmes utilisés en Belgique, SARIS et OSERIT. Enfin, il serait intéressant de comparer dans le cadre d’une situation réelle les résultats obtenus par différentes méthodes et la réalité.
Tout cela devrait permettre, à terme, de déterminer l’option la plus efficace et ainsi influencer les protagonistes du monde maritime lorsqu’ils rencontrent ces situations. Que ce soit le marin qui appelle la côte pour que le calcul soit fait par un programme ou les gardes-côtes qui choisissent le bon outil et l’utilisent convenablement.